Spacehelmet
Pensées modifiées
Dans ce monde lointain situé sur la planète Gliese 667Cc, là où le climat, et la vie semblait si parfaite, se trame dans le plus grand des secrets la plus terrible des supercheries.
Tout commence lorsque l’état de la planète Terre se dégrade, les plus grands scientifiques décident de quitter cette planète et de se répartir sur plusieurs autres planètes ayant la même capacité et conditions de vie qu’ils ont pu avoir sur Terre.
Tout un groupe de personnes se retrouve donc sur la planète Gliese 667Cc.
Un peu après l’arrivée, l’Etat dirigeant, décide de ne plus reproduire les mêmes erreurs qu’auparavant et donc d’inventer un casque contenant des aiguilles introduites dans le cerveau qui inhiberaient l’état de colère, de vengeance et d'opinion de guerre sur ses citoyens.
Ce casque, ils l’ont appelé le Spacehelmet, il sera donc officiellement mis en place pour éviter toute contamination de virus inconnu.
La supercherie n’a jamais été découverte. Et le peuple vit donc en paix depuis plusieurs milliers d’années.
Jusqu’au jour où un jeune homme nommé Zevra chute violemment de son vélo.
Son casque s’enlève mais il le remet aussitôt, il regarde s' il n’a pas de blessure grave et se rend sur son lieu de travail. Plus les heures passent, plus Zevra se rend compte qu’il n’éprouve pas les mêmes sensations que d’habitude et remet la faute sur sa chute.
Les jours s'enchaînent et il ressent des émotions qu’il n’a jamais ressenties auparavant, il commence à réaliser que le casque est devenu défectueux et est responsable de l'inhibition de ses émotions. Il comprend donc que ses dirigeants ont menti à la population dès le début et s’est promis de mettre fin à cette mascarade.
Il réfléchit, et décide de réunir une équipe dans le but de hacker le casque. Il veut les meilleurs à ses côtés, des génies de l’informatique et d'électronique. Il se met à faire des recherches sur les potentiels futurs camarades, mais tout en continuant de mener sa vie normalement pour ne pas éveiller les soupçons.
Une fois l’équipe trouvée, il met tout en œuvre pour rendre défectueux leurs casques.
Mission réussie, Zevra et ses nouveaux coéquipiers se remuent les méninges et décident d’ouvrir le casque en deux, de modifier les composants et d’y installer un émetteur qui envoie des ondes pour neutraliser les autres casques.
Après une longue période, pour trouver les matériaux mais aussi pour modifier le casque sans se faire prendre, ils ont enfin réussi à finir le prototype.
Le plan initial est d’aller à l’endroit le plus haut de la ville, de désactiver le brouilleur d’ondes et ensuite d’activer le casque dans le but de neutraliser tous les autres.
La stratégie sera d’éviter la sécurité et les défenses tactiques qui gardent le brouilleur. Ils mettront leurs vies en danger pour sauver et rétablir le LIBRE ARBITRE du peuple.
Un sentiment de sédition a fini par prendre le dessus des ruminations et des pensées sous-jacentes de zevra. Comme l’exprime Marc Vilrouge « L’interdit donne de la saveur, la censure du talent. »
En effet, zevra aime partager ses idées et sa volonté dictatoriale. C’est d’ailleurs ce qui le fit se révolter contre ce gouvernement pour lequel il éprouve une profonde haine et désirs de vengeance.
Étant un homme intelligent et au fait de ses limites, il eu une vision du futur et de ce que pourrait devenir l’avenir grâce à lui.
Grâce à son anticipation révolutionnaire, il a su créer ce qu’il entendait au plus profond de lui. Il s’éleva afin de provoquer le gouvernement et déstabiliser la dictature que la nation subissait depuis déjà trop longtemps. C’est à ce moment qu’il a commencé à dessiner et qu’il eu l’idée de hacker le casque.
Ce fameux casque donné par le gouvernement a toute la nation avait en fait pour but de diriger le peuple et de repérer les différents de point de vue susceptibles de nuire à l’emprise des souverains.
Envers et contre tous, zevra a pensé intelligemment et s’est posé la question suivante « qu’adviendra t-il du casque si on l’enlève ? ». C’est une question qu’il n’aurait normalement pas du se poser, mais son premier réflexe a été de l’enlevé sous l’effet aliénant de la colère. Le gouvernement voyant son interdit bafoué repère et cible immédiatement zevra représentant à présent une menace clair.
Celui-ci s’est donc mis a réfléchir a une issue dans la précipitation. « J’ai besoin d’une manière d’abattre cette dictature sans enlever ce casque » se dit-il.
Il entreprit détourner l’usage premier du casque, un hacke s’imposait. Au début il a penser simplement a diminuer le son ou le compléter par d’autre bruits tels que des grincements mais sans véritable succès.
Il ne restait plus qu’une seule solution, celle de haker le dispositif qui permet au gouvernement d’avoir accès aux pensées des civiles. Il devra s’intéresser plus précisément aux capteurs, aux nappes et aux micros à l’intérieur du casque.
Il se dit que si il arrivait a rendre les micros obsolètes, il serait libre de dire ce qu’il pense sans être constamment surveiller par le gouvernement.
Il se lance alors dans de la programmation en plusieurs étapes: le démontage du casque, la vérification des pièces, ou encore le remontage ou ré assemblage du casque, la partie la plus importante de la programmation permettant de le libérer son expression.
Après avoir essayé plusieurs programmes et exécuté différentes commandes par pertinence et par correspondance, il s’approchait de son objectif. Tout cela devait bien évidement être fait a l’insu du gouvernement, le détracteur auquel il essayait tant bien que mal d’échapper.
Le premier programme s’appela « Purella ». Ce programme avait pour but de déconnecter le serveur du casque, et de l’empêcher de communiquer avec les ordinateurs de l’état. Mais cette opération a malheureusement échoué, il ne parvenais pas a terminer sans que le casque ne se mette a sonner.
Malgré cela il ne sombra pas dans le désespoir. Il créa un autre programme «Pentax», ce dernier était plus complexe et modifiait parfaitement le système grâce a une application.
En clair les concepteurs du casque étaient reliés a une application qui elle était reliée communiquait avec le gouvernement. Le casque et le gouvernement n’était donc pas reliés directement car les signaux transitaient par une application qui pouvait contrôler les paroles de la population, et donc tous les porteurs du casque.
Lorsque les porteurs exprimaient une idée qui n’était pas en accord avec celle du gouvernement, l’application faisait en sorte d’envoyer le contraire de ce qui a été dit.
Ce programme fut une réussite car c’est le seul qui a fonctionner sans que le gouvernement ne s’en aperçoive.
Spacehelmet Hacker
package test;
import java.awt.Color;
import javax.swing.JFrame;
import javax.swing.JLabel;
import javax.swing.JPanel;
import javax.swing.JTextField;
import javax.swing.JButton;
public class test1
{
public static void main(String[]args){
JFrame fr = new JFrame("TP_JAVA"); /* definir une fenetre */
fr.setTitle("TP_JAVA"); /* nomer la fenetre */
fr.setVisible(true); /* visualiser la fenetre*/
fr.setSize(1000,800); /* la taille de la fenetre */
fr.setLocation(250,250); /* lemplacement de la fenetre */
fr.setDefaultCloseOperation(JFrame.EXIT_ON_CLOSE); /* quand on ferme la fenetre le programme s arrete */
JPanel pnl = new JPanel();
fr.setContentPane(pnl);
pnl.setBackground(Color.gray); /* choisir la couleur de la fenetre */
pnl.setVisible(true);
JTextField txt1 = new JTextField(); /* creer une zone de text et choisir sa longeur et sa largeur et son emplacement sur la fenetre*/
txt1.setBounds(150, 140, 600, 30);
JTextField txt2 = new JTextField();
txt2.setBounds(150, 200, 600, 30);
JLabel lab1 = new JLabel("Entrée"); /* creer la 1ere label */
lab1.setBounds(40,140,100,30);
JLabel lab2 = new JLabel("sortie"); /* creer la 2eme label */
lab2.setBounds(40,200,100,30);
JButton sv = new JButton("Enregistrer");
sv.setBounds(800,300,100,50);
fr.add(txt1);
fr.add(txt2); /*ajouter la zone de text dans l interface*/
fr.add(lab1); /*ajouter label dans l interface */
fr.add(lab2);
fr.setLayout(null);
fr.add(sv);
}
}